Tag: art mural asbl

Le Secret de l’Espadon de Edgard P. Jacobs

By georges

Temps de Lecture: 3 minutes La première aventure de Blake et Mortimer … où ils sont immédiatement confronté à leur ennemi le Colonnel Olrik.

La fresque a été réalisée dans le BAR & BRASSERIE « L’Espadon » de l’Hôtel Aremberg en Avril 1997 qui se trouvait (et se trouve toujours sous son nom actuel ‘NH Brussels Grand Place Arenberg’) rue d’Assaut 15 à 1000 Bruxelles. L’Hôtel a assez rapidement changé et plusieurs fois de propriétaire, et a aussi changé de décors, et ça fait donc quelques années déjà que la fresque n’existe plus.

Le « Projet Terre-Neuve » de l’asbl Recyclart a 20 ans.

By georges

Temps de Lecture: 2 minutes Beau projet dont le but premier était de transformer la rupture urbaine provoquée par la Jonction Nord-Midi.

C’est le 15 septembre 1999 qu’a eu lieu l’inauguration du « projet Terre-Neuve », à l’initiative de l’asbl Recyclart, fraîchement installée dans les bâtiments abandonnés de la station Bruxelles-Chapelle.

La fresque Jazz de Philip Paquet a 10 ans.

By georges

Temps de Lecture: 3 minutes Septième fresque du projet « Muurvast » à Anvers.

Le 29 Août 2009 on inaugurait la fresque Jazz (Louis Armstrong) de Philip Paquet.

C’est la 7ème fresque du projet imaginé par Linda Torfs et Johan Bijttebier, qu’ils ont appelé ‘Muurvast Stripmurenroute in Antwerpen‘.

Cette fresque a 2 particularités, elle a été réalisée sur panneaux Alucobond(1) en atelier et ensuite placée dans les fenêtres aveugles du bâtiment du bar à vin Patine (wijnbistro Patine) à Leopold De Waelstraat 1 – coin Leopold De Waelplaats – ou se trouve le Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers auquel Philip Paquet fait référence dans son projet et notamment dans la fenêtre en haut à gauche.

Broussaille a 20 ans…

By georges

Temps de Lecture: 2 minutes … et je ne vous dirais pas l’age de son amie Catherine, non pas par galanterie mais parce que …

… vous vous en doutez, elle a aussi 20 ans!

C’est la version actuelle qui a 20 ans (Septembre 1999), en effet, la première version de la fresque date de juillet 1991, mais après seulement quelques années, elle a montré de sérieux défauts et dégâts et on nous a demandé de la restaurer.

La petite reine de J.-C. Servais

By georges

Temps de Lecture: 2 minutes La troisième fresque du projet J.-C. Servais à Tubize.


La première fresque du projet Servais à Tubize « Déesse blanche, déesse noire » a été inaugurée en 2006, la seconde, « La Belle Coquetière » a été inaugurée 8 ans plus tard, en 2014, et voilà que 4 ans après, la troisième fresque « La petite reine » tirée de la première version de la couverture de l’album du même nom aura lieu en juin 2018.
Si on en crois la règle des suites, la quatrième fresque devra être inaugurée courant 2020 et la cinquième l’année suivante en 2021 et on aura réalisé alors la moitié de l’objectif de départ qui était de 10 fresques. Évidement ce n’est juste qu’une hypothèse …

Fresque Joost Swarte à Anvers

By georges

Temps de Lecture: 3 minutes « 7 Vices 7 Vertus » selon Joost Swarte ;).

Le 5 juillet 2014 était inauguré la fresque « Nero » de Marc Sleen, qui était la 10ème et ultime fresque du parcours BD d’Anvers – le projet Muurvast – comme prévu au départ du projet démarré près de 10 ans plus tôt par la fresque « Hendrik Conscience » de Jan Bosschaert inaugurée le 29 avril 2005. Après 3 ans de ‘réflexion’, les promoteurs* du projet vous proposent un nouveau projet, la réalisation à la suite des 10 fresques existantes, de 5 nouvelles fresques pour le parcours, mais cette fois, les auteurs des fresques seront recherchés hors de nos frontières. Et pour la première de la série, ils n’ont pas été fort loin, et je dirais même plus sans paraphraser Dupont (ou Dupond –  je ne m’en rappelle jamais), pas loin du tout chez notre proche voisine  la Hollande. Le premier mur choisi, est un mur immense (SD Worx) au coin de Rouaanse Kaai et Kriekenstraat, et l’auteur choisi est aussi immense sinon plus encore que le mur, et ce n’est autre que Joost Swarte, le maître Hollandais de « la ligne claire », expression dont il est l’inventeur et qu’il a utilisé pour la première fois en 1977 pour caractériser l’œuvre d’Hergé dans le catalogue de l’exposition « Tintin » de Rotterdam nommée « De Klare lijn » – la « Ligne claire » en néerlandais.